Sur le bord de la ruine

Le pays est...sur le bord de la ruine

L'économie de la Guinée-Bissau est dans un état considéré comme «inutile» par les institutions économiques telles que la Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest. Gel de l'aide étrangère après le coup d'Etat, brisant le principal produit d'exportation (noix de cajou) et aussi des erreurs de gouvernance sont les principales causes indiquées selon Afrique Surveillance Intelligence. La "newsletter" a déclaré que les difficultés sont considérées comme un élément moteur des initiatives en cours pour résoudre la crise profonde et prolongée dans laquelle se trouve le pays, dont le Portugal, l'Angola et le Brésil ont également été les principaux acteurs externes.

Une tendance à l'aggravation pourrait bien dégénérer en troubles sociaux difficiles à contrôler. 
Après le coup d'Etat du 12 Avril 2012, ont cessé tous les programmes d'aide à l'étranger, ce qui représente globalement environ 70% des recettes budgétaires. Cashew moteur de production de l'économie est en déclin. La dernière campagne menée "en bon état", 2011, a atteint un chiffre record de plus de 120.000 tonnes vendues et les revenus de plus de 100 millions d'euros. 

Parmi les indicateurs de l'état actuel de l'économie métiers à tisser de grandes entreprises internationales installées dans le pays ont retiré leurs fonds - sous prétexte de manque de confiance. La saison des noix de cajou, qui a débuté le calendrier aujourd'hui, tend à provoquer une panne, a déclaré l'Afrique Monitor. sites de production d'acheteurs sont manifestement dépourvue d'argent pour les entreprises - pourquoi est paralysé. Les grands acheteurs finaux, les Indiens, qui en ce moment dans un grand nombre exigé le pays pour célébrer les contrats d'importation, sont absents. 
Les estimations vont dans le sens que la production perdue, n'a pas été récoltée ou manque de ruissellement, l'avantage est que, à cause de l'économie informelle ------ les exportations illégales vers le Sénégal ------- la situation économique pénible n'est pas étrange à la mauvaise gouvernance du pays - un phénomène dû à une mauvaise préparation générale des souverains et sa concentration excessive sur les questions d'intérêt individuel des leaders actuels. LusoMonitor